Comme pour tous les touristes de la planète, qu'ils viennent d'une région différente ou carrément d'un pays étranger, se retrouver perdu dans la garrigue provençale peut être légèrement désarment, même si le paysage est superbe. Cette petite touriste japonaise, très téméraire, c'est donc retrouvée dans ce cas là, lorsqu'elle a décidé toute seule d'explorer l'arrière pays. Après une bonne heure de marche dans les collines, elle doit malheureusement se rendre à l'évidence, elle s'est paumée. Ayant trouvé une bâtisse et se croyant sauvée (puisqu'elle parle quelques mots de français), elle se rapproche du lieu. Elle s'aperçoit vite que ce n'est qu'un bâtiment en ruine et qu'il n'est surement pas habité. Heureusement pour elle, l'amas de pierre est occupé par un jeune gars de la région qui squatte le lieu pour y faire sa sieste tranquillement. La jeune japonaise retrouve le sourire et interpelle le squatteur qui se précipite vers elle quand il remarque que la demoiselle, en plus d'être étrangère, est incroyablement sexy. Elle arrive à faire comprendre qu'elle est perdue et lui arrive à lui expliquer qu'il va l'aider à retrouver son chemin et qu'en plus il trouve qu'elle a un très joli cul. Le charme français faisant son effet elle se laisse peloter aux entournures et même directement dans sa culotte. Le langage du sexe étant universelle, la jeune fille orientale déjà mouillée, s'agenouille pour s'enfoncer la grosse bite du squatteur providentiel au fond de sa gorge. Une fois qu'elle en a terminé avec le pompage, elle se met à poil et se penche en avant pour se faire tringler debout et par derrière. La belle asiatique finit vite à quatre pattes à se faire bourrer en profondeur. Elle passe aussi quelque temps à s'enfiler elle-même sur la queue tendu de son « sauveur » et a se faire insidieusement doigter l'anus en même temps, ce qui augure une proposition tacite pour une sodomie explicite. Une fois de nouveau en levrette, elle se fait enculer pour de bon et sans plus de préparation. Les cris de la femme d'origine orientale résonnent dans les collines provençales avoisinantes jusqu'à ce qu'ils s'arrêtent, alors qu'elle est occupée à finir son bienfaiteur qui se vide les couilles entre ses seins.