Parfois une rencontre fortuite peu mener à beaucoup plus très rapidement et sans signe avant coureur. Une simple pause cigarette peu permettre a deux personnes de se rapprocher et discuter. C'est le cas de cet employé de banque qui se retrouve à parler avec sa patronne dans la rue devant l'établissement, alors que jusqu'à maintenant ils ne s'étaient jamais adressé la parole. Les deux fumeurs parlent de choses et d'autres en restant très correcte dans les sujets abordés. Le gars, voyant que sa boss n'est pas si guindé ni strict qu'il le pensait, ose tout de même lui faire un compliment sur ses lignes très agréables à regarder. La dame accepte la flatterie avec beaucoup d'enthousiasme, ce qui encourage ce dernier à continuer en devenant un peu plus direct à chaque fois. A la fin de la discussion il arrive même à placer dans la conversation qu'il trouve qu'elle est une MILF ultra sexy. La directrice d'agence bancaire semble surprise par ces derniers mots et demande à son employé de lui expliquer ce que veut dire MILF. Après une courte hésitation, il lui avoue le vrai sens de l'acronyme en rougissant un peu (de peur d'être allé trop loin). La femme mature attrape le gars par la main et lui demande de la suivre. Elle le conduit dans un petit endroit privé au bord de l'eau, qu'elle est la seule à connaître. A peine arrivé sur place, elle s'assoit sur un rocher face à lui, lui baisse son pantalon et lui suce la bite. La blonde gobe longtemps le sexe de son subalterne, avant de s'empaler dessus. Dès qu'elle se remet debout, s'est pour s'appuyer contre la falaise et se faire niquer par derrière, d'abord debout, puis à quatre pattes dans le sable. Une fois dans cette position avec les fesses bien écartées, l'employé en profite pour sodomiser sa patronne par surprise, dont le cris de jouissance sont à peine couverts par le bruit du ressac. La femme mûre se fait encore longtemps baiser et enculer. Son baiseur lui pilonne les deux entrées à tour de rôle, et se sert de la chatte de la banquière pour lubrifier sa queue et sodomiser la dame toujours plus profond, jusqu'à ce qu'elle jouisse des deux orifices. La patronne félicite son salarié tout en lui demandant de se vider les couilles sur sur visage et dans sa bouche et bien sur de garder tout cela secret.