Beurette rousse à couettes très salace

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Publié par : Robert Gros

Vidéo complète : 26 minutes

Ajoutée le : 17/08/2019
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Bien que la vindicte populaire tend à penser qu'une grande partie des femmes appartenant à la catégorie des beurettes, soient réservées, timides voir même timorées, c'est clairement une erreur à la limite de la légende urbaine. Le cas de cette étudiante rousse et sexy est édifiant. Elle est non seulement très salace mais aussi très friande de sexe et de sperme, ce qui est aussi un avantage dans la conduite de ses études. C'est pour cela qu'elle passe la majeure partie de son temps dans sa chambrette d'étudiante a « travailler » ses cours sur l'anatomie masculine et même parfois féminine. Lorsqu'elle est en période de recherche, elle fait de nombreuses expériences avec ses camarades de promotion qui se plient volontiers à ses protocoles et acceptent de servir de cobayes avec plaisir. Pendant cette phase elle porte toujours des couettes pour ne pas être gênée par ses cheveux lors de ses différentes expériences. Sa dernière lubie s'est portée sur les différentes saveurs de sperme qu'il peut exister sur un panel représentatifs de dix étudiants dans sa tranche d'âge. Elle aurait pu se les taper tous d'un seul coup mais elle a préféré être le plus proche de la réalité en se les faisant un par un. Elle reçoit donc son premier cobaye entièrement nue, les jambes écartées pour qu'il puisse la doigter pendant qu'elle s'occupe de le sucer. Dès que le sexe lui déforme la bouche tellement il est gonflé, elle se met en levrette pour se faire dézinguer par derrière. La chercheuse savoure son expérience au point que ses bras ne la portent plus et qu'elle se retrouve la tête enfoncée dans ses draps appuyée sur ses gros seins. La beurette est prise sur le coté, par en-dessous et par dessus, et se fait limer sans discontinuer, essayant de tenir bon et de ne pas jouir trop vite. Dès qu'elle a eu son compte, elle se désengage du sexe et se retourne pour le mettre au fond de sa gorge pour ne pas en perdre une goutte, pendant que son sujet d'expérience se branle jusqu'à l'éjaculation. La scientifique déguste le liquide avant de l'avaler et noter ses impressions, tout en espérant que le prochain la sautera vite fait où qu'elle n'aura qu'à lui faire une pipe, sinon elle ne tiendra pas le coup longtemps. En tout cas il y a peu de chercheuse débutante aussi appliquée qu'elle quand elle décide de se lancer...

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