La sauvageonne n'est pas farouche du cul
Les autochtones de cette petite ile ont la réputation d'être plutôt sauvages, même quand il s'agit de développer le tourisme, tous les locaux restent fermés et distants. Mais pour les connaisseurs la réalité est tout autre. Si les visiteurs sont aussi mal vus, c'est qu'en fait les femmes qui résident sur cette atoll sont toutes sans exception des nymphomanes en puissance. Elles ont énormément de mal à résister à la nouveauté et elles n'ont aucune inhibitions. Ce sont les insulaires masculins, qui ne veulent pas vraiment partager, qui sont ouvertement contre toutes forme de développement du tourisme. Donc seul ceux qui savent et qui arrivent à s'introduire sur l'ile en douce bénéficie de l'accueil plus que chaleureux des femmes du cru, qui ne sont toujours très court vêtues et allument les tous les passants et plus spécialement les nouvelles têtes. Pour cet habitué des lieux la recette est simple, il lui suffit de se promener discrètement (pour ne pas se faire repérer par un père, un mari ou un frère) et attendre de tomber sur une des nombreuses femmes qui se baladent aussi à la recherche de nouveauté. Et il a l'œil, puisqu'il trouve une jolie demoiselle blonde en mini short en train de cueillir quelques fruits dans un arbre. En guise de bonjour, il va directement au contact en tenant les fesse de a jeune femme pour l'aider à descendre. La docile petite arboricole se laisse volontiers peloter, avant de passe au plus important, découvrir le goût de la bite de l'inconnu. visiblement très satisfaite, elle retire sa culotte pour se faire « fister » et baiser. Si c'est une sauvageonne ce n'est pas parce qu'elle est distante mais surtout parce qu'elle a le feu au cul et qu'elle sait ce qui lui faut pour la calmer. Elle utilise la bite du promeneur pour se l'insérer dans tous les trous les uns après les autres, avant de terminer par où elle avait commencer, sa petite bouche gourmande qui ne demande qu'une chose: une bonne rasade de sperme à consommer sur place.
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