Pour cette employée de l'administration pénitentiaire c'est bientôt à la retraite. Mais il est claire qu'elle ne compte pas raccrocher de sitôt. C'est une fervente partisane du système carcéral en général surtout si il est couplé à un système de réinsertion des détenus à leur sortie. Malheureusement, dans la prison dans laquelle elle officie, il n'y a pas de tel système pour accompagner les libérés sur le droit chemin. Elle a donc joint l'utile à l'agréable et mettant au point son propre système de réinsertion. Chaque semaine, elle en choisit un, et l'invite chez elle, pour qu'il ne soit pas lâché dans la nature sans point de repère. Une fois à domicile, elle reprend son rôle de matonne (en beaucoup moins stricte), en enfilant un uniforme fantaisiste et sexy et fait ainsi en sorte que son invité ne soit pas complètement dépaysé. Certain vont même jusqu'à enfiler un déguisement de bagnard pour que l'illusion soit complète. Une fois en tenue, la femme mûre désamorce petit à petit toutes les mauvaises habitudes et surtout tous les fantasmes du détenu longtemps privé de sexe. Pour cela elle donne volontier de sa personne en réalisant tous les désirs auxquels elle est confrontée pendant cette semaine de réadaptation. La femme mûre est à disposition ainsi que tous ses trous, qui ne restent jamais très longtemps sans être comblés. C'est d'ailleurs encore équipée de son bâton de matonne qu'elle se fait niquer la bouche par la grosse queue de l'ex prisonnier. La dame étant une gourmande elle ne boude pas son plaisir et se laisse en plus tripoter un peu partout pendant la fellation. Comme elle ne porte que de la lingerie et pas de culotte sous sa jupe, son compagnon temporaire trouve vite le chemin de sa chatte pour la sauter sans plus de cérémonie. La dame est habituée et même si le sexe est gros elle à encore de la place dans sa fente pour y insérer, en plus, sa matraque professionnelle. Après la double pénétration vaginale, la gardienne de prison se fait démolir l'anus, « fister » et encore sodomiser jusqu'à la fin. Allongée sur le dos, les jambes écartées et ses gros seins exposés, elle reprend son souffle, avant de se faire littéralement gaver de sperme. Un pas de plus dans la bonne direction, celle de la réinsertion, grâce à la vieille matonne.