Tout comme trouver un bon employé, trouver un bon patron est tout aussi ardu. Les exigences de l'un doit correspondre aux compétences de l'autre. Dans ce domaine, cette femme de la haute société a usé déjà plusieurs majordomes qu'elle a renvoyé au bout de quelques jours pour incompétence, bien qu'ils aient les meilleures lettres de recommandation, et provenant du service de familles illustres. Comme c'est une veuve dites « joyeuse », elle n'est pas le moins du monde attachée au protocole et encore moins aux traditions. Donc pour trouver son bonheur elle a du chercher en dehors des circuits conventionnels pour remplir la charge d'employé de maison auprès d'elle. Curieusement, la difficulté de cette tâche s'est révélée moindre que ce qu'elle pensait. Au lieu de confier le recrutement à une agence spécialisée, qui ne lui fournissait que des candidats guindés et perfectionnistes, elle a juste eu à recruter un gars qui l'a abordé au supermarché pour la draguer, alors qu'elle s'y rendait pour la première fois et par la force des choses. Au lieu de répondre à son abordeur, d'aller voir plus loin si elle y était, elle lui a proposé le poste vacant. Depuis la femme bourgeoise est pleinement satisfaite de son majordome, qui ne pense qu'à une chose, en plus de la servir, la sauter aussi souvent que possible. Ce qui convient à madame, qui ne se lasse pas de se faire draguer et complimenter sur sa grosse poitrine à la moindre occasion, et qui accorde ses faveurs quand elle en a envie. Le plus souvent elle se fait servir son café directement dans la cuisine et prétexte désirer un supplément de crème, dont la pénurie est constante. Ainsi pour la satisfaire, son employé doit la fournir en sperme en guise de substitut. Pour avoir accès au précieux liquide, elle donne de sa personne en suçant a bite du majordome, qu'elle fait durcir dans sa bouche, avant de se la prendre dans la chatte et de se faire baiser sur tous les meubles de la cuisine, et plus particulièrement la table, sur laquelle est se fait largement ramoner, et pour finalement se retrouver à même le sol chevauchée par l'employé, jusqu'à ce qu'elle exulte de plaisir, sentant l'arrivée prochaine de son supplément de crème. Dès lors, elle s'accroupit ouvre la bouche et récolte le fruit de son dur labeur sous la forme d'une longue éjaculation de sperme, qu'elle avale sans même en mettre dans son café, directement du producteur au consommateur.