L'équilibre est souvent compliquer à respecter dans ce genre de club pour échangiste. Étrangement, le nombre d'hommes est quasiment toujours supérieur au nombre de femmes, allez savoir pourquoi. Il arrive, dans des cas extrêmement rares que cette tendance s'inverse naturellement, et dans des cas moins rares où la proportion est inversée artificiellement, par exemple lors de soirées à thème. Les soirées « quart d'heure américain » font parties de ces événements lors desquels, les femmes sont plus nombreuses puisque ce sont elles qui décident de tout et les rares hommes qui y participent sont de vraies étalons. Les filles passent d'abord beaucoup de temps entre elles à danser et se caresser, puis les vêtements commencent à disparaître pour laisser place à la lingerie sexy. La température monte et les demoiselles se lance dans une partouze lesbienne, sur la scène et dans la salle. Certaines sont équipées de « strapon » et commencent déjà à pénétrer leurs petites camarades, alors qu'elles se bouffent la chatte. Les rares hommes invités sont seulement spectateurs au début, avant d'être inclus dans la mêlée lorsqu'il se font pomper la bite. Dès lors ils peuvent baiser tous les trous à leur dispositions, et les femmes qui tiennent absolument à se faire niquer ont juste à se pencher et avant devant eux pour se prendre une salve de coups de reins. C'est une métisse mature à gros seins qui en profite la première, après s'être faite longuement lécher la chatte. Elle fait mine de se baisser pour ramasser sa culotte, tout en se doigtant, ne laissant que sont cul comme possibilité de pénétration. Elle se fait sodomiser debout, devant ses jeunes consœurs qui se font toutes niquées aussi, que ce soit par un mâle ou par une donzelle bien équipée. Le seule inconvénient de ce genre de soirée est la pénurie de sperme à la fin. Seule quelques chanceuses se partagent les rares éjaculations. Pour qu'il y en ait pour tout le monde, elles se le passe le foutre de bouche en bouche pour ne pas faire de jalouses.