Pour cette bourgeoise de la haute société, se faire traiter comme une prostituée est comme une drogue. Après avoir passé sa journée dans les quartiers huppés de sa ville, a faire des courbettes et à respecter le protocole en tout point, rien n'est plus libérateur pour elle, d'aller dans les quartiers chauds de la ville, habillée de façon la plus provocatrice possible pour se faire niquer par un inconnu dans un terrain vague. Elle ne patiente pas longtemps avant qu'un passant, une bière à la main et passablement alcoolisé, ne lui fasse du rentre dedans de la manière la plus beauf possible. Et contrairement aux attentes du lascar, ses invectives sont couronnées de succès et la dame répond positivement à ses avances. La fausse pute, mais vraie bourgeoise, se laisse peloter et s'accroupit dans la foulée pour sucer la bite du passant. Il lui tient fermement la tête pour lui enfoncer son membre le plus profondément possible, avant de lui retirer tous ses vêtements et de lui inspecter la chatte. Quand il se met à la bourrer sur un rocher, tout proche, il profite de l'occasion pour lubrifier la jointure avec un peu de bière tout en lui doigtant l'anus. Dès que la rondelle de la femme bourgeoise est bien dilaté, il encule la dame, et entre deux sodomie, il remplit le petit trou de bière pour que ça glisse mieux. La dame est aux anges et se comporte bien comme la première des putes, en hésitant pas à sucer la queue entre deux limages de son cul. Elle se fait démonter l'anus jusqu'à l'orgasme puis se régale de la bite du beauf en la pompant jusqu'à ce qu'il éjacule dans sa bouche. Maintenant satisfaite, elle peut retourner dans son monde de délicatesse et de ronds de jambes.