Pour avoir eu un comportement dégradant envers les femmes, en faisant une caricature obscène d'une femme à gros seins, cet étudiant a écopé de plusieurs heures de retenue. Dans la salle de classe, il est seul avec sa surveillante, qui n'est autre que la meilleure amie de sa prof principale, dont il a fait la caricature porno. La dame à grosse poitrine, profite de cet occasion pour lui faire la morale, en plus de lui fournir du travail supplémentaire. Pendant son discours moralisateur, elle s'emballe et finit par sortir ses gros nichons de son soutien gorge, et ouvrir les cuisses pour écarter sa culotte et montrer sa chatte complètement épilée. Le collé ne sait plus où se mettre, mais il obéit tout de même à la femme à gros seins quand elle lui ordonne de montrer sa queue, puisqu'elle vient de lui montrer son intimité et qu'il trouve ça normal. Pour ne pas perdre la face, il s'exécute et montre sa grosse queue, qui ne laisse pas le pionne indifférente. Le ton de la discussion baisse, à la même vitesse que la bite du sermonné grossit. La surveillante passe de l'énervement à l'excitation et se baisse pour pomper l'énorme sexe. Après l'avoir sucer façon gorge profonde, elle se met sur le bureau pour qu'il puisse lui baiser sa grosse poitrine façon branlette espagnole. Dans cette position, il peut à la fois niquer les gros nichons et la gorge de la moralisatrice. Pour encore faire monter la tension d'un cran (ou même de plusieurs), elle se met debout sur le bureau et fait une danse lascive pendant laquelle elle retire sa culotte, avant de se rallonger et d'ouvrir ses cuisses pour se faire baiser. En plus d'avoir un énorme sexe, l'universitaire est vigoureux, et ce n'est pas pour déplaire à la pionne qui profite de cet état de faits pour s'envoyer en l'air plusieurs fois, avant de se faire éjaculer sur le visage, sur ses gros seins. Pour ne pas perdre une miette de tout ce sperme, elle lèche tout les endroit qu'elle peut atteindre et remplit son escarpin avec le reste, pour le vider dans sa bouche. La morale de cette morale, c'est que tout dépend des circonstances.